Résumons-nous. Donc vous commandez un travail à quelqu’un et vous ne le payez pas, volontairement…

Résumons-nous. Donc vous commandez un travail à quelqu’un et vous ne le payez pas, volontairement… Ce type exprime parfaitement bien le fantasme le plus fou des employeurs d’aujourd’hui, de demain et de toujours. Transformer tous les salariés en fournisseurs pour les tenir au creux de leur main, comme des objets. Accessoirement, tenir ses engagements et payer les gens qui travaillent pour lui, c’est juste de la courtoisie. Il faut donc dire merci quand ça arrive j’imagine ? Oui oui ! Vous entendez bien les mecs ! Vous ne rêvez pas ! Je me demande s’il dit merci au moins, cette raclure à l’écharpe rouge, quand il reçoit son gros chèque à la fin du mois ?

En fait, je vais vous dire, ça tombe très bien au moment où l’on annonce la Loi Macron 2. Un projet qui institutionnalise le travail précaire avec « le professionnel de proximité » un statut customisé ultralight d’auto-entrepreneur. Moi je dis dommage. Dommage que les gens se résignent au mépris et à l’humiliation sans réagir. Dommage que à de rares exceptions, les intellectuels nous aient abandonné.

Paï — 2002

Paï

Paï

Paï

Paï

Paï

Paï

Paï

Paï

Paï

Paï

Le Diable probablement — 1977

Le Diable probablement

Le Diable probablement

Le Diable probablement

Le Diable probablement

Le Diable probablement

Le Diable probablement

Le Diable probablement

Le Diable probablement

Le Diable probablement

Les anges violés — 1967

犯された白衣 (1967)

犯された白衣 (1967)

犯された白衣 (1967)

犯された白衣 (1967)

犯された白衣 (1967)

犯された白衣 (1967)

Ur kärlekens språk (1969)

Ur kärlekens språk

Ur kärlekens språk

Ur kärlekens språk

Ur kärlekens språk

Ur kärlekens språk

Ur kärlekens språk

Ur kärlekens språk

Ur kärlekens språk

Ur kärlekens språk

Ur kärlekens språk

Ur kärlekens språk

Ur kärlekens språk

Vulture in The Other Hollywood

Alors la meuf idéale, en tout cas pour nous, c’était une strip-teaseuse, parce qu’elle faisait du fric pendant qu’on s’en donnait avec les putes ! En plus, il suffisait de la caler à l’arrière de la moto et si on avait envie d’aller à Atlanta, à la Nouvelle-Orléans ou Dieu sait où, il y aurait toujours une boîte à strip-tease où elle trouverait du taf. Alors vous pouviez rester sur la route aussi longtemps que vous en aviez envie sans vous inquiéter pour le fric.